Garniérite
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| Origine du nom | Dédiée à son découvreur, l'ingénieur des mines Jules Garnier. |
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| Localité type | |
| Auteur(s) de la description | |
| Date de la publication | |
| Référence de la publication | |
| Classe chimique | |
| Sous-classe chimique | |
| Formule chimique | |
| Système cristallin | Monoclinique |
| Classe de symétrie | |
| Réseau de Bravais | |
| Dureté "Mohs" | |
| Densité | |
| Clivages | |
| Cassures | sub-conchoïdale à tendance esquilleuse. |
- Statut : La garniérite n’est pas à proprement parler un minéral, bien qu’elle soit un silicate magnésien hydraté nickélifère, car la garniérite contient du nickel en proportions variables (maxi 10 %) ; elle provient de l’altération des péridotites et est un important minerai de nickel.
- Propriétés optiques et autres :
- Couleur : verte
- Éclat du minéral : mat, parfois cireux
- Trace :
- Morphologie des cristaux : visible au MET
- Macles : pas de macle connue
- Morphologie des agrégats : assez diversifiée. Massif - grenus - pseudo botryoïdaux.
- Conditions de formation et/ou de gisement :
- Utilisations :
- Échantillons de collection : Nouvelle Calédonie
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