Labrador : Différence entre versions

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Certaines labradorites présentent le phénomême d'iridescence, dit très souvent
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dans ce cas : labradorescence.
  
 
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Version du 7 mars 2009 à 22:51

Labradorite
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Origine du nom d'après la région d'origine
Localité type
Auteur(s) de la description Foster
Date de la publication 1780
Référence de la publication nom obsolète
Classe chimique tectosilicates
Sous-classe chimique tectosilicates (feldspath plagioclase)
Formule chimique Na0,5-0,3 Ca0,5-0,7 Al1,5-1,7 Si2,5-2,3 O8
Système cristallin triclinique
Classe de symétrie -1 Holoédrie triclinique -
Réseau de Bravais Centré C -
Dureté "Mohs" de 6,00 à 6,50
Densité de 2,68 à 2,72
Clivages oui
Cassures irrégulière, conchoïdale (minéral fragile, cassant)

| Couleurs= incolore, bleu, jaune, blanc, gris, irisé, brun, blanc gris, verdâtre, vert pâle. Certaines labradorites présentent le phénomême d'iridescence, dit très souvent dans ce cas : labradorescence.

| Éclat et transparence= vitreux, nacré ; transparent, translucide

| Couleur de la trace= blanc

| Morphologie= tabulaire, massif, grenu, lamellaire, compact. Macles possibles


Ce nom ne figure pas sur les listes de l'I.M.A., il ne s'agit donc pas d'une espèce minérale, mais d'une variété de feldspath plagioclase…