Staurolite

Staurolite

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Origine du nom	du grec " stauros " par allusion à la macle courante en " croisette de Bretagne ".
Localité type
Auteur(s) de la description	Delamétherie
Date de la publication
Référence de la publication
Classe chimique	VIII SILICATES
Sous-classe chimique	Nésosilicates
Formule chimique	(Fe+2,Mg,Zn)2 Al9 (Si,Al)4 O22(OH)2
Système cristallin	Monoclinique
Classe de symétrie	2/m Holoédrie monoclinique
Réseau de Bravais	Centré C
Dureté "Mohs"	de 7 à 7,5
Densité	de 3,74 à 3,83
Clivages	{010} bon
Cassures	Irrégulière, conchoïdale, esquilleuse ; minéral fragile, cassant

• Statut : Minéral agrée par l'I.M.A. Encore connu sous l'appellation désuète de " staurotide ", elle était, autrefois, eut égard à ses macles et à la plus célèbre de ses provenances, la " pierre de croix ", ou la "croisette de Bretagne "… La staurolite et la kyanite forment des croissances épitaxiques, par exemple dans le schiste micacé à paragonite du St Gothard.

• Propriétés optiques et autres : Translucide, opaque, transparent.
• Couleur : brun, brun rougeâtre, brun jaunâtre, noir brunâtre, brun jaune, jaune pâle, jaune brun, bleu.
• Éclat du minéral : subvitreux, résineux, mat, gras.
• Trace : blanche, grisâtre.

• Morphologie des cristaux : Prismatique (combinaisons du prisme et de pinacoïdes.
• Macles : Cruciformes communes, selon {031} = " croisette de Bretagne, {231} = " croix de St André " ; ces macles peuvent être associées ou répétées = macles triples, macles cycliques.

• Morphologie des agrégats : Grenus.

• Conditions de formation et/ou de gisement : Dans les roches alumineuses du métamorphisme de contact, micaschistes et gneiss, en association avec la kyanite (voir à disthène), le grenat, l'andalousite, la sillimanite, la tourmaline.

• Utilisations :

• Échantillons de collection : Région du St Gothard, Suisse ; etc. En France, région de Coray - Scaer, Bretagne.

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