Météorites trouvées en France : Différence entre versions
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:- les deux plus grandes météorites jamais tombées sur la Terre ; les [[astroblème]]s de Rochechouart et de Bizaneuille, dans le Limousin, sont le résultat leur fantastique impact, il y a 200 millions d'années ; | :- les deux plus grandes météorites jamais tombées sur la Terre ; les [[astroblème]]s de Rochechouart et de Bizaneuille, dans le Limousin, sont le résultat leur fantastique impact, il y a 200 millions d'années ; | ||
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On distingue les météorites que l’on a vu tomber et que l’on a retrouvées peu après leur atterrissage : on les appelle « <b>chutes observées</b> » ou plus simplement « <b>chutes</b> », de celles que l’on a découvertes par hasard, appellées « <b>trouvailles</b> ». | On distingue les météorites que l’on a vu tomber et que l’on a retrouvées peu après leur atterrissage : on les appelle « <b>chutes observées</b> » ou plus simplement « <b>chutes</b> », de celles que l’on a découvertes par hasard, appellées « <b>trouvailles</b> ». | ||
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Météorites trouvées en France
Sur cette page, il vous est proposé de créer et de rassembler des liens vers des pages consacrées aux météorites et aux chutes de météorites françaises.
En France, on a répertorié environ 70 chutes de météorites. Parmi les plus célèbres, citons :
- - la plus ancienne météorite recueillie, celle d'Ensisheim (127 kg), petite ville située entre Colmar et Mulhouse ; tombée le 7 novembre 1492, de nombreuses chroniques de l'époque en font mention ;
- - la " pluie de météorites " de l'Aigle , dans l’Orne, en avril 1803 ; étudiée par Jean Baptiste Biot, dont le rapport finit par convaincre le monde scientifique de l'origine extraterrestre des météorites ;
- - les deux plus grandes météorites jamais tombées sur la Terre ; les astroblèmes de Rochechouart et de Bizaneuille, dans le Limousin, sont le résultat leur fantastique impact, il y a 200 millions d'années ;
- - celle qui fut, pendant près de deux siècles, la plus grosse météorite trouvée en France et, même, en Europe, au cours des temps historiques, la météorite de Caille, en Provence.
On distingue les météorites que l’on a vu tomber et que l’on a retrouvées peu après leur atterrissage : on les appelle « chutes observées » ou plus simplement « chutes », de celles que l’on a découvertes par hasard, appellées « trouvailles ».
Depuis la chute de la météorite d'Ensisheim en Alsace en 1492, soixante-sept autres météorites ont été recensées. Au total 61 "chutes" et 7 "trouvailles" ( en comptant Ensisheim ).
Voici une liste de toutes (?) les météorites reconnues tombées sur le sol français (France métropole) :
- Agen, Lot-et-Garonne, 1814
- Aire-sur-la Lys, Pas-de-Calais, 1769
- Alais, Gard, 1806
- Angers, Maine-et-Loire, 1822
- Apt, Vaucluse, 1803
- Asco, Corse, 1808
- Aubres, Drôme, 1836
- Aumières, Lozère, 1842
- Ausson, Haute-Garonne, 1858
- Barbotan, Gers, 1790
- Bettrechies, Nord, 1934
- Beuste, Pyrénées-Atlantiques, 1859
- Bouvante, Drôme, 1978
- Caille, Alpes-Maritimes, circa 1750 (1828 date d'entrée au MNHNP)
- Chantonnay, Vendée 1812
- Charsonville, Loiret, 1810
- Chassigny, Haute-Marne, 1815
- Château-Renard, Loiret, 1841
- Chitenay, Loir-et-Cher, 1978
- Clohars, Fouesnant, Finistère, 1822
- Ensisheim, Haut-Rhin, 1492
- Épinal, Vosges, 1822
- Esnandes, Charente-Maritime, 1837
- Favars, Aveyron, 1844
- Galapian, Lot-et-Garonne, 1826
- Granes, Aaude, 1964
- Henvic, Finistère, 1991
- Jonzac, Charente-Maritime, 1819
- Juvinas, Ardèche, 1821
- Kérilis, Côtes-d'Armor, 1874
- Kermichel, Morbihan, 1911
- Kernouvé, Morbihan, 1869
- La Bécasse, Indre, 1879
- Laborel, Drôme, 1871
- La Chaux, Saone-et-Loire, 1846
- L'Aigle, Orne, 1803
- Lance, Loir-et-Cher, 1872
- Lançon, Bouches-du-Rhône, 1897
- Le Pressoir, Indre-et-Loire, 1845
- Les Ormes, Yonne, 1857
- Le Teilleul, Manche, 1845
- Lucé, Sarthe, 1768
- Luponnas, Ain, 1753
- Marmande, Lot-et-Garonne, 1948
- Mascombe, Corrèze, 1836
- Mézel, Puy-de-Dôme, 1949
- Mont-Dieu, Ardennes, 1994
- Montferre, Aude, 1966
- Montlivau, Loir-et-Cher, 1838
- Mont Vaisi, Alpes-Maritimes, 1637
- Mornans, Drôme, 1875
- Nancy, Meurthe-et-Moselle, 1894
- Orgueil, Tarn-et-Garonne, 1864
- Ornans, Doubs, 1868
- Quinçay, Vienne, 1951
- Saint-Caprais-de-Quinsac, Gironde, 1883
- Saint-Chinian, Hérault, 1959
- Saint-Christophe-la-Chartreuse, Vendée, 1841
- Sainte-Marguerite-en-Commines, Nord, 1962
- Saint-Germain-le-Pinel, Ille-et-Vilaine, 1890
- Saint-Mesmin, Aube, 1866
- Saint-Sauveur, Haute-Garonne, 1914
- Saint-Séverin, Charente, 1966
- Salles, Rhône, 1798
- Sauguis, Pyrénées-Atlantiques, 1868
- Toulouse, Haute-Garonne, 1812
- Villedieu, Côte-d'Or, 1890
- Vouille, Vienne, 1831
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