Carangeot : Différence entre versions
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| − | il vient à Paris étudier les sciences physiques et naturelles | + | il vient à Paris étudier les sciences physiques et naturelles. On ne sait pas quel hasard l'a fait rencontrer [[Romé-de-l'Isle]], dont il devient l'assistant. |
| − | Il fabrique des gabarits de référence destinés à une application directe sur les arêtes des cristaux sous forme de plaquettes échancrées d'angles connus, et couramment observés entre les faces consécutives de certains cristaux | + | Il fabrique des gabarits de référence destinés à une application directe sur les arêtes des [[cristaux]] sous forme de plaquettes échancrées d'angles connus, et couramment observés entre les faces consécutives de certains cristaux. |
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Version du 26 octobre 2010 à 13:33
Arnould Carangeot né à Reims le 12 mars 1742 et mort en 1806.
Destiné à la prêtrise, après quelques années passées dans un séminaire hollandais, il vient à Paris étudier les sciences physiques et naturelles. On ne sait pas quel hasard l'a fait rencontrer Romé-de-l'Isle, dont il devient l'assistant.
Il fabrique des gabarits de référence destinés à une application directe sur les arêtes des cristaux sous forme de plaquettes échancrées d'angles connus, et couramment observés entre les faces consécutives de certains cristaux.
Il aura l'idée géniale, de mesurer ces valeurs à l'aide d'un " mesure-angle ", cet instrument simple - alidade mobile pivotant au centre d'un rapporteur - est le goniomètre d'application. Il le présentera le 11 avril 1782 devant l'assemblée des savants et artistes.
La loi de constance des angles dièdres soutenue par Romé-de-l'Isle était née.
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